Catalogue
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Véritable hommage aux Saintignais, ce livre vous fera revivre une partie de l’histoire de Sainteny et de ses habitants, souhaitant àcette commune à la belle position géographique de retrouver sa vigueur du siècle passé, lorsque, vers 1918-1920, on y comptaitprès de mille résidents.
Erick de Briovère nous fait découvrir l’arrivée perturbée et perturbante d’une famille de Norvégiens, en l’an 890 de notre ère, dans la région de Briovère, l’actuelle ville de Saint-Lô.
Si d’aventure on avait filmé « Les Tontons flingueurs » avec les procédés cinématographiques actuels, on aurait alors pu voir, sur l’image complète et non rognée, mon père, là, sur la gauche, juste à côté de Blier et de Ventura !
Cette étude s’intéresse à l’évolution politique dans la Manche entre l’été 1944 et les élections générales de l’automne 1945.
Il était une fois... Granville est un recueil de chroniques qui couvrent un siècle et demi de l’histoire de la ville. Enfin, la ville ne serait pas celle que nous connaissons aujourd’hui sans des personnalités, qu’elles soient politiques, armateurs, commerçants... qui jouèrent un rôle important et s’impliquèrent dans la vie locale.
L’exploitation de la main-d’oeuvre française par le Troisième Reich a longtemps été délaissée par les historiens.Dans cet ouvrage, Michel Boivin aborde le problème dans le cadre manchois et sous ses diverses formes : volontariat, relève, requis, STO, réfractaires.
Les élections régionales de 2010 sont marquées, en Basse-Normandie comme dans l’ensemble de la France, par une « grève des urnes » et un « vote de crise ». Le parti des abstentionnistes est le grand vainqueur à la campagne comme à la ville. La liste UMP-NC-CPNT pâtit tout particulièrement du désengagement d’une forte proportion de son électorat.
Contrairement à une idée largement répandue, le département de la Manche, alors majoritairement rural et agricole, fortement attaché aux pratiques catholiques, massivement orienté à droite, n’est pas unanimement maréchaliste, pétainiste et vichyste, loin s’en faut.
Chacun pourra donc retrouver, à travers le parcours de Louis et Marie Moulin, l’évolution d’un XXème siècle si paradoxal, fait d’horreur et de modernisme, de craintes et d’espoirs, de peines et de joies et se retrouver dans la simplicité et les mots justes des témoignages.
De 1066, avec Hugues de Brébeuf à Hastings aux côtés de Guillaume le Conquérant à Charles-Maurice Chrétien, chanoine sous la Révolution et l’Empire, en passant par Jean de Brébeuf massacré par les Iroquois et figure emblématique de la famille ou lesAshley-Cooper, qui ont joué un rôle de premier plan dans l’histoire de l’Angleterre, c’est la vraie saga des...
Cette étude ambitionne de comprendre comment les Manchois ont vécu entre 1939 et 1945, c’est-à-dire de l’entrée en guerre jusqu’à la sortie de la guerre.
les Manchois refusent une seconde occupation-humiliation. Ils veulent redevenir libres, indépendants et fiers d’être Français. En conséquence, il soutiennent massivement les idées et l’action du général de Gaulle, le chef du GPRF.
L’étude de la Libération de la Manche montre le caractère dévastateur et meurtrier des combats et des bombardements stratégiques alliés dans le département. Plus de 3 000 civils manchois sont tués. Des dizaines de milliers de sinistrés vivent leur exode comme une tragédie. Environ 50 000 maisons d’habitation sont totalement ou partiellement détruites.
Dans la Manche occupée, les maréchalistes et les pétainistes doivent compter avec des gaullistes très vite nombreux et actifs, mais plus enclins à la résistance civile qu’à la résistance organisée . Les Manchois, qui s’efforcent malgré tout de mener une vie quotidienne normale, ne sont pas épargnés par la guerre.
L’examen de l’Occupation prend une place centrale et prépondérante. Non seulement la présence allemande dans la Manche dure quatre ans ; mais elle est très dense et donc tout à fait déterminante pour interpréter les faits et gestes des Manchois.
L’analyse de la mobilisation des Manchois de la « drôle de guerre » à la défaite est un préalable indispensable à une bonne compréhension de l’Occupation. L’état d’esprit dominant, très hostile aux Allemands, explique la ferme résolution des Manchois de se battre en dépit de l’indéniable angoisse d’un rejeu de 1914-1918.
Cette étude ambitionne de comprendre comment les Manchois ont vécu entre 1939 et 1945, c’est-à-dire de l’entrée en guerre jusqu’à la sortie de la guerre.